A l’occasion d’un séjour à Ostende, Bertrand trouve une valise rejetée par la mer. Rapidement, il apparaît qu’elle provient de l’explosion du Boeing 737 Rome-Londres qui a eu lieu quelques jours plus tôt. A l’ouverture de la valise, Bertrand va être troublé par les objets qui s’y trouvent et ce contenu énigmatique va devenir une obsession.
Avis
Le personnage de Bertrand n’est pas particulièrement glamour. C’est un homme sérieux, « fonctionnel », qui reste dans la norme et apprécie le caractère immuable des habitudes.
Mais face à cette valise ouverte et aux trésors qu’elle recèle, son quotidien va être ébranlé : il imagine la femme qui l’a bouclée et rêve éveillé, ne pensant plus qu’à cette valise. Tout à coup, il prend conscience de sa vie morne et sans extravagance, complètement hors du monde. Et, par cet emballement soudain, se découvre différent de l’image qu’il avait de lui-même.
Finalement, la découverte de cette valise sur une plage belge va changer le cours de sa vie et l’inciter à en profiter davantage.
Le moins que je puisse dire vis-à-vis de La vie cappuccino, c’est que je ne suis pas super emballée. Malgré les phrases courtes et le rythme soutenu, je n’ai pas réussi à partager l’enthousiasme de Bertrand face aux « trésors » que livre la valise.
La vie cappuccino – Evelyne Wilwerth – Editions Luce Wilquin – 1999
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